Morse – Driven By Clouds

Sur son nouveau single, “Driven By Clouds”, Morse fait revivre dans son imaginaire des proches disparu.e.s, partageant la sensation de grande familiarité qui persiste parfois malgré l’absence. Si l’on retrouve sur le titre l’instrumentation classique d’un morceau de Morse (voix grave, percussions pleines, guitares hypnotiques), il y a sur “Driven By Clouds” une luminosité supplémentaire, quelque chose de plus libéré, de plus apaisé que sur les précédentes sorties. On imagine par exemple DARKSIDE et Serge Gainsbourg qui méditent ensemble en dansant sous un soleil hivernal et éclatant. Cette ambiance ouatée sert de fil conducteur au titre, comme l’explique Morse: “Musicalement, j'ai voulu faire un gros nuage, un moment où l'on rentre en contact avec le ciel, cela commence et se termine par un frissonnement comme si l'esprit de la personne avec qui l'on s'imagine parler était vraiment là”. L’artiste lausannois s’est une nouvelle fois chargé lui-même de l’enregistrement et du mix dans son home studio, laissant le mastering aux mains d’Alain Ernst du Studio Freeson. Sur son nouveau single, “Driven By Clouds”, Morse fait revivre dans son imaginaire des proches disparu.e.s, partageant la sensation de grande familiarité qui persiste parfois malgré l’absence. Si l’on retrouve sur le titre l’instrumentation classique d’un morceau de Morse (voix grave, percussions pleines, guitares hypnotiques), il y a sur “Driven By Clouds” une luminosité supplémentaire, quelque chose de plus libéré, de plus apaisé que sur les précédentes sorties. On imagine par exemple DARKSIDE et Serge Gainsbourg qui méditent ensemble en dansant sous un soleil hivernal et éclatant. Cette ambiance ouatée sert de fil conducteur au titre, comme l’explique Morse: “Musicalement, j'ai voulu faire un gros nuage, un moment où l'on rentre en contact avec le ciel, cela commence et se termine par un frissonnement comme si l'esprit de la personne avec qui l'on s'imagine parler était vraiment là”. L’artiste lausannois s’est une nouvelle fois chargé lui-même de l’enregistrement et du mix dans son home studio, laissant le mastering aux mains d’Alain Ernst du Studio Freeson.